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Dissimulons !: récit

Résumé
Certains attendent le soir pour s'habiller en femme. D'autres combattent un monde qui ne veut pas de leur étrangeté. Excentriques, parias, individus sans feu ni lieu : l'écrivain et cinéaste est parti à la rencontre de cette humanité déchue et lumineuse, poétique et burlesque, dans ces marges du monde social où les identités se métamorphosent.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 1h. 13min.
Édition: Paris, Plein jour, 2016
Numéro du livre: 33835
ISBN: 9782370670236
Collection(s): Les invraisemblables
CDU: 8

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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65593
Résumé:Une réflexion sur l'idée de biographie et sur la place des rêves dans la vie humaine. " Voici le cœur de l’argument du livre que je voudrais consacrer à l’idée de biographie : les rêves n’émettent pas la moindre idée de cause. Les rêves sont encore vivants, non les phrases. Ils errent. On ne saurait faire un tissu si continu de ses désirs, ni des actions où ils se projettent ou qu’ils inventent, qu’il puisse passer pour vraisemblable."
Durée : 4h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16580
Résumé:
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18564
Résumé:"Le Coeur populaire" parut en 1914. Ce recueil rassemble tout ce qui, chez Jehan-Rictus, ne relève pas des "Soliloques" (titre d'un de ses principaux ouvrages) ; il ne s'agit plus pour lui de parler en son nom propre, mais de donner la parole au petit peuple, à la "misère du faubourg". Publiés dans le numéro de Comoedia, du 7 décembre 1913, les Conseils, avait été saisi. Ces conseils de nature hygiéniste, que Jehan-Rictus adresse à l'Ouvrier et au Révolutionnaire, conservent encore aujourd'hui toute leur salacité. - La présente édition se complète d'une magnifique lettre à Léon Bloy du 4 octobre 1900. Jehan-Rictus y expose les raisons profondes qui l'ont conduit à la singularité de sa langue, son amour du français du XVIe siècle et de la langue argotique. De son vrai nom Gabriel Randon, Jehan-Rictus (1867-1934) découvre, adolescent, la bohême de Montmartre et fréquente poètes et anarchistes. Ses chansons et ses poèmes lui valent les compliments de Mallarmé, Léon Bloy, Maurras. La puissance de son verbe lui vaut d'être, encore aujourd'hui, le chantre privilégié des paumés, des exclus et des marginaux.
Durée : 9h. 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26295
Résumé:En vingt deux chapitres, depuis " Mythologies ", jusqu'aux " Conquérants ", et passant par "Nous sommes tous de grands enfants ", "Les observateurs de Civilisations ", "Du bon usage des moyens de transport "... Marc Wiltz propose une nouvelle lecture de 80 livres qui l'ont marqués et dont le thème principal tourne autour du voyage. Sont ainsi convoqués dans cette saga de l'aventure par l'écriture Don Quichotte et Casanova, Henry Miller et André Malraux, Bruce Chatwin et Victor Segalen, Saint-Exupéry et Hemingway... Et le personnage mythique du premier voyageur : Ulysse. "Tout est parti d'Homère, le poète, l'aveugle, le chantre, celui qui, pour le bonheur ou le soin mental des autres, a la charge de les distraire, de les sortir de leurs préoccupations, de rassembler dans un verbe social les faits et les gestes mystifiés de leur existence. Au commencement était la parole de l'aveugle, celui qui n'existait pas, celui qui ne savait pas écrire. Comme Jésus, celui que les écritures disent fils du verbe, mais dont aucune preuve historique n'atteste la réalité et dont, sans écrire lui-même, le geste a inspiré tant et tant de littérature... Pourquoi croire en l'un et pas en l'autre ? " Pour présenter les chapitres de ce grand rassemblement, l'auteur explique par l'exemple en quoi ses propres voyages ont été influencés par les lectures de ces auteurs magnifiques pour lesquels il se livre là à un salutaire exercice d'admiration.
Lu par : Jean Frey
Durée : 8h. 12min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 36843
Résumé:« Ce livre parle avant tout d’amour : le grec ancien a été l’histoire la plus longue et la plus belle de toute ma vie. Peu importe que vous connaissiez le grec ou non. Si c’est le cas, je vous dévoilerai des caractéristiques de cette langue dont personne ne vous a parlé au lycée, quand on vous demandait d’apprendre par coeur conjugaisons et déclinaisons. Si ce n’est pas le cas, c’est encore mieux. Votre curiosité sera comme une page blanche à remplir. Qui que vous soyez, cette langue recèle des manières de s’exprimer qui vous permettront de vous sentir chez vous, de formuler des mots et des idées qui ne trouvent pas d’expression exacte dans notre langue. » Le grec est une langue géniale : voici neuf bonnes raisons d’en tomber éperdument amoureux.
Lu par : Claire Philippe
Durée : 2h. 12min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13549
Résumé:Un jour d'hiver, un jeune couple perd son enfant, une petite fille de quelques semaines. Le père, Frans Thomése, accomplit son " travail de deuil " en usant du meilleur moyen qu'il connaisse : l'écriture. Mais l'écriture ne répond pas aux questions, elle les pose. Comment dire la perte, comment évoquer l'absence ? Qu'est-ce que cette absence, et qu'était cette vie qui n'a pas eu le temps d'être vécue ? Qui souffre en moi ? Ainsi naît, autour d'un thème tragiquement universel, la suite de textes courts - ni récits, ni essais, ni poèmes en prose, mais à égale distance de ces trois genres - composant ce livre exceptionnel, quête obstinée d'un chant, d'une mélodie pure, d'une " troisième voix " qui fasse surgir l'indicible. " Pour peu que l'on subisse assez de pertes, le passé devient à la longue ce qu'était d'abord l'avenir : un lointain où laisser vagabonder la rêverie, un horizon derrière lequel une seconde chance reste toujours possible et où, en dépit du caractère irrémédiablement révolu de toutes choses, l'énigmatique espoir continue d'exister. "
Durée : 4h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 68053
Résumé:Treize histoires de fantômes, d’amour et d’amitié, d’admiration et de stupeur. Treize portraits subjectifs, mais vrais, rigoureux, qui ressuscitent des êtres que j’ai rencontrés et aimés, quelquefois malgré eux. Des peintres Marc Jurt, René Feurer, des éditeurs Simone Gallimard, Vladimir Dimitrijevic, Bernard de Fallois, des écrivains Michel Butor, Nicolas Bréhal, Jacques Chessex, Aragon, un philosophe, Jacques Derrida, des gens célèbres ou inconnus, Roger Dragonetti, André Dalmas, Juste Olivier, disparus dans les couloirs du temps. Ne pourchassons pas ces fantômes qui nous hantent, ne les trahissons pas et aimons-les : ce sont les seuls à savoir qui nous sommes.
Lu par : Marianne Pernet
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Le peloton est la maison mobile des coureurs. Une maison colorée et féline qui s'étire, qui se rassemble, qui se faufile, qui dessine la route et la course. Il y a autant de façon d'habiter cette maison que de coureurs. Certains s'y reposent, d'autres s'y cachent, certains y font le ménage, d'autres vont mettre le nez à la fenêtre. Les plus hardis et les plus éprouvés s'en échappent. Mais tous, toujours, s'y rassemblent chaque petit matin.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67646
Résumé:Une angoisse nous hante : être en retard. Nous vivons notre vie quotidienne, notre travail, l’éducation de nos enfants, et même nos vacances dans une telle crainte du retard que nous finissons par être en avance sur tout, par tout anticiper. Nous avons perdu le sentiment du temps, et avec celui-ci le sentiment de notre existence. Être en retard, c’est faire l’école buissonnière, prendre des chemins de traverse, ne pas aller droit au but, c’est introduire d’infimes variations qui peuvent faire dérailler les rouages bien huilés de nos vies trop machinales. C’est finalement vivre. Face aux valeurs dominantes de nos sociétés modernes – fluidité, flexibilité, urgence et vitesse – et aux pathologies qui en découlent, le retard, un « laps » de temps qui nous permet de ressaisir notre condition temporelle, devient une véritable stratégie de résistance.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 6h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 74133
Résumé:Nombreuses sont les lectrices pour qui Colette aura été un modèle, parfois une confidente, souvent même une source d’inspiration sur les voies de l’émancipation et de la création. Les lettres qu’elles lui adressèrent, leurs innombrables souvenirs et témoignages forment ici la matière d’un portrait inédit de l’écrivaine. Certaines de ces « belles écouteuses » sont restées dans l’ombre de son œuvre. D’autres sont devenues célèbres, à l’instar de Simone de Beauvoir, qui l’admirait au point d’en faire une source capitale de son essai Le Deuxième Sexe, de Marguerite Yourcenar, de la star Marilyn Monroe, qui possédait ses romans, ou encore d’Audrey Hepburn, qui doit sa carrière à la romancière – sans oublier la jeune Françoise Sagan, enhardie par la prose de son aînée. Le pouvoir des mots, leur enchantement nourrissent ce vagabondage littéraire ordonné par l’un des meilleurs spécialistes de Colette.
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 79814
Résumé:" Ce petit livre hybride tisse des fils en apparence distincts : la trajectoire extraordinaire de Gertrude Stein et le caractère périlleux du succès dont elle a fait l'expérience, mais aussi ma fascination esthétique pour le passé, certaines spécificités de la langue anglaise à laquelle je me frotte régulièrement en tant que traductrice, le travail complexe et sans cesse recommencé de l'écriture, et ce que signifie être une femme en littérature, hier et aujourd'hui. " Avec cette évocation littéraire et personnelle de Gertrude Stein, Julia Kerninon livre une forme d'autobiographie par détours ponctuée de fulgurantes réflexions sur l'écriture et la force du passé.
Durée : 1h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 78655
Résumé:A partir de la contemplation d'une coquille, l'écrivain propose une réflexion sur la création et ses limites, ainsi que sur la question de l'être. Cet essai paru pour la première fois en 1937 dans la Nouvelle revue française est accompagné de deux autres textes, tous issus de Variété I et Variété II et de Variété III, IV et V.